Le cinéaste Danny Boyle a révélé l’intrigue de son film James Bond annulé. L’oscarisé de 65 ans devait initialement réaliser Pas le temps de mourir mais il s’est retiré du dernier film de 007 au début de sa pré-production. Boyle a été remplacé par Cary Fukunaga, qui a réussi à offrir une conclusion raisonnablement bien accueillie à la saga du super espion. Le film a marqué la fin du mandat de Daniel Craig en tant que Bond. et a ouvert une nouvelle ère pour le célèbre personnage de Ian Fleming et la franchise cinématographique vieille de 55 ans.
Au fil des ans, le choix du bon cinéaste pour un film de James Bond est devenu de plus en plus important. La décision de savoir qui sera derrière la caméra est presque aussi contestée que le choix du personnage de l’agent secret britannique. Avec son impressionnant CV de films à succès comme Trainspotting, Slumdog Millionaire, et 28 jours plus tardBoyle semblait être le choix idéal pour relever le défi de James Bond. Malheureusement, cela ne devait pas se faire. On ne sait pas grand-chose de la décision de Boyle de se retirer de la franchise, si ce n’est qu’il a quitté la production de No Time to Die, en proie à des difficultés, après que les producteurs eurent décidé de lui confier la réalisation du film. aurait été en désaccord avec sa vision de Bond..
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Maintenant, pour la première fois, Boyle a parlé directement de ses plans pour Bond et de la façon dont il aurait fait quelque chose de différent avec la propriété intellectuelle emblématique. Selon IndiewireBoyle reconnaît que son travail sur No Time to Die a été entaché par son incertitude quant à l’opportunité de s’engager dans une franchise. Citant le fait qu’il « voulait vraiment faire quelque chose de différent », Boyle et le scénariste John Hodge avaient commencé à travailler sur un film dont le cadre était russe et dans lequel les origines de Bond étaient explorées :
« Bizarrement – ça aurait été très actuel aujourd’hui – tout se passait en Russie, qui est bien sûr l’endroit d’où vient Bond, hors de la guerre froide. Il se déroulait dans la Russie d’aujourd’hui et revenait à ses origines, et ils ont juste perdu, quel est le mot… ils ont juste perdu confiance en lui. C’était vraiment dommage. »
Des rapports précédents avaient spéculé que Boyle s’était séparé d’Eon Productions après que sa suggestion de tuer Bond n’ait pas été acceptée par la productrice (et héritière d’Eon) Barbara Broccoli. Et même si cela aurait pu être un problème majeur, il est clair que l’on attendait de No Time to Die quelque chose de plus qu’une exploration des origines de Bond. En l’état actuel des choses, Fukunaga a livré une itération unique de Bond.La décision de tuer le personnage était en préparation depuis la sortie du film GoldenEye en 1995. La décision de tuer le personnage était apparemment en préparation depuis la sortie de GoldenEye en 1995, ce qui signifie que la vision de Boyle ne correspondait pas à ce que les producteurs avaient en tête.
Il se peut aussi qu’un film de Bond se déroulant en Russie n’ait pas semblé assez intriguant pour Eon. Après tout, la franchise s’est fait connaître au fil des ans pour ses décors qui font le tour du monde. Boyle a raison de dire que James Bond a débuté à l’époque de la guerre froide, mais même les premiers films de 007 mettaient en scène le super espion dans des lieux tropicaux exotiques et dans diverses villes du monde. Un seul lieu associé à un examen des origines de Bond n’aurait peut-être pas suffi à maintenir l’intérêt du public, et à ce stade de l’héritage de Bond, c’est un ingrédient essentiel.
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Source : Indiewire
Cet article a été rédigé par Mike Jones et traduit par LesVidéoprojecteurs.com. Les produits sont sélectionnés de manière indépendante. LesVidéoprojecteurs.com perçoit une rémunération lorsqu’un de nos lecteurs procède à l’achat en ligne d’un produit mis en avant.